dessus de portes

B. lit tout haut le premier paragraphe de l'article liminaire du colloque Alphonse Allais: « "Pourquoi le mauvais goût ne pourrait-il être aussi distingué et raffiné que le bon? " Joie car cet apophgtegme (sic) semblait justifier l'attirance, sans doute contestable, que j'éprouvais alors pour certaines tératologies que le fameux paradigme de Rimbaud - dessus de portes, refrains idiots...». Ici, il interrompt sans lever les yeux pour prédire une future compréhension du titre du blog que vous lisez. Reprise, courte: « - légitimait déjà peu ou prou ». Alors quid de ce dessus de portes? C'est dans la Saison de Rimbaud, je réponds en citant plus ou moins, on peut prendre ça pour une sorte de panégyrique pour les paralittératures. Et B. de me rétorquer, visiblement un peu déçu, qu'il n'avait jamais pensé ça, qu'il avait toujours vu ce blog comme un seau d'eau en équilibre au dessus d'une porte entrouverte.